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| | L'enlevement d'un prince | |
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Färvien Créature polymorphe
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![L'enlevement d'un prince Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: L'enlevement d'un prince Jeu 29 Nov 2007 - 0:31 | |
| [HRP : attention, ce RP contient des scènes pouvant choquer, évitez le spoil si vous le voulez, l'histoire restera compréhensible, merci /HRP]
Un sommeil paisible, un sommeil paisible, au bout du compte, cette petite sieste ne le fut pas autant qu’il l’aurait voulu. Il s’était endormi profondément pendant un temps, mais rapidement, des chaos répétés se firent sentir, comme s’il était trainé, mais ce n’était pas possible, après tout, pourquoi le traînerait-on lui plus qu’un autre clochard avili qui gisait dans la ruelle. Les secousses continuaient, s’intensifiaient, se ralentissaient, pour finalement s’arrêter complètement. Le prince toujours somnolant, ne s’en rendormit que plus vite, les gènes ayant disparues.
*Mmhh … ?*
Après avoir dormi pendant ce qui lui sembla ne serait-ce qu’une demi seconde, le prince commença péniblement à ouvrir les yeux. Le décor avait changé, il ne se trouvait plus dans la ruelle dans laquelle il s’était endormi, mais dans une vieille maison, visiblement abandonnée, plus miteuse encore que celle du forgeron. Les fenêtres étaient toutes cassées mais recouvertes de planches en bois, ce qui laissait filtrer quelques jets de lumières ici et là, la pièce, déjà assez exigue, prenait des airs oppressants. Les murs étaient sales au possible, recouverts de … sang ? Non, ce n’était pas possible … et ça ne semblait pas être du sang … ou sinon mélangé à autre chose … mieux valait ne pas penser à ce qui avait pu se passer dans cette pièce. Färvien commença à vouloir bouger, ce qui se révéla impossible, il était attaché aux pied et aux mains, celles-ci attachées à un poteau qui se trouvait dans son dos, il tenta de crier, mais c’était également impossible, un chiffon, plus ocre et sale que blanc, l’en empêchait. Il commença à paniquer, regardant autour de lui pour chercher une issue, il y avait bien une porte, mais elle était trop loin pour être atteinte. La panique s’intensifia dans sa tête, Färvien ne savait pas quoi faire, pourquoi se retrouvait-il là ? Pourquoi ? Il essaya de se calmer du mieux qu’il pouvait, car c’est le seul conseil de ses maîtres dont il se rappelait à la seconde. Il respira profondément, examinant tout ce qu’il y avait autour de lui. La pièce se composait de deux fenêtres, d’une porte, d’une paillasse de paille sur laquelle il était assit et du poteau où il était accroché. Il remua les mains, les nœuds étaient trop bien faits pour pouvoir être enlevés facilement. Soudain, il entendit des voix, elles venaient de la pièce adjacente, il devait y avoir trois hommes à côté, celui à la voie la plus grave semblait être le chef, car les deux autres se taisaient quand il parlait. Le prince commença à gémir, espérant attirer leur attention, même s’ils étaient ses kidnappeurs, il pouvait leur montrer qu’il était réveillé, ce n’était pas obligatoirement la meilleure solution, mais c’était la seule dont il disposait. Il gémit donc, essayant par la même occasion de se libérer de son bâillon. Les hommes semblèrent l’avoir entendu, il entendit des pas sourds se diriger vers la porte. Elle s’ouvrit en coup de vent, un homme, dans la trentaine, brun, la peau basanée, un visage masculin, s’avança vers le prince, il portait un pantalon de toile marron délavée et était torse nu, laissant dévoiler ses muscles clairement définis et des biceps qui feraient pâlir les plus puissants hommes du monde. Tout en lui respirait la masculinité, lorsqu’il s’approcha du prince pour lui parler, celui-ci pu sentir une odeur musquée, masculine elle aussi, son haleine également dégageait une odeur … envoûtante.
« - Ohh …mais c’est que notre bon prince est réveillé, je m’excuse, mais il va falloir patienter encore un peu mon mignon … »
Et il abattit son poing sur la joue du prince qui s’évanouit sous le choc.
Dernière édition par le Mer 5 Déc 2007 - 18:11, édité 1 fois | |
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| La suite est interdite aux âmes sensibles ou aux trop jeunes personnes, merci.
- Spoiler:
Le prince commença à se réveiller lentement, il sentit sa joue le brûler, mais quelque chose d’étrange se passa, il sentit sur ses lèvres quelque chose d’humide, il respira et sentit la même odeur de l’homme musclé qui l’avait assommé un peu avant. Il ouvrit les yeux et vit cet homme en gros plan, devant lui, ses lèvres posées sur les siennes, le prince, paniqué, essaya de reculer la tête, mais l’homme empoignait celle-ci avec tant de force que Färvien n’arrivait ne serait-ce qu’à la bouger d’un poil. L’homme redoubla d’efforts dans le baiser qu’il donnait au jeune homme et commença à enfoncer sa langue dans la bouche de Färvien, le prince, complètement sous le choc, ne réagit pas et laissa la langue s’engouffrer dans sa bouche et pétrir tout ce qu’elle arrivait à toucher. Färvien ne s’avait pas quoi faire, les deux hommes qui semblaient être aux ordres de son persécuteur les regardaient avec une certaine impatience, ils devaient sans doute attendre eux aussi leur tour. Mais plus Färvien essayait de se concentrer sur autre chose, comme par exemple le fait qu’il faisait vraiment jour et que la pièce était plus claire maintenant, plus il revenait toujours au baiser qui lui faisait de plus en plus d’effet, il se demandait même s’il ne commençait pas à aimer, la vigueur avec laquelle l’homme l’embrassait, la dextérité dont sa langue faisait preuve dans la bouche du prince, et cette odeur enivrante, qui réveillait tous les sens du prince. Et se baiser n’en finissait pas, Färvien se demander depuis combien de temps se bouche était prisonnière de celle de l’homme musclé. Et à ce moment la, sans que Färvien ne s’en rende vraiment compte, il appréciait le baiser, et commença également à pétrir la langue intruse de sa bouche avec la sienne, a l’introduire dans l’autre bouche, à jouer avec. L’homme semblait apprécier se changement d’attitude, et quand le prince s’en rendit compte, il essaya de toutes ses forces d’arrêter, mais rien à faire, sa langue semblait suivre une autre pensée que la sienne, et bientôt Färvien ne lutta plus, et se laissa entraîner dans ce baiser fougueux et sauvage. Tout alla très rapidement après ça, il commença également à prendre des initiatives, à pousser l’autre, qui semblait vraiment heureux. C’était une histoire de fou, Färvien n’était pas homosexuel, mais il aimait ce baiser, il aimait cet homme, son odeur, ses muscles, son visage, tout en lui respirait la masculinité, la force. Il était beau. L’homme relâcha l’étreinte autour de la tête du prince, mais celui ci n’essaya même pas de fuir, il continua le baiser avec toute la force animale dont il était capable, il sentit les cordes autour de ses mains et de ses pieds s’affaisser sur le sol, il entreprit de visiter tout les recoins du torse de son homme, l’embrassant toujours, ses mains se baladant sur les muscles saillants de l’apollon. Soudainement, le baiser s’interrompit, Färvien regarda d’un air déçu l’homme qui lui faisait face, celui-ci lui dit d’un air amusé :
« - Et bien mon prince, tu as l’air de t’amuser, passons à la vitesse supérieur alors. »
« - La vitesse ? Que … quoi ? Mais, je ne l’ai jamais fait … hé … mais, pour … ?! »
Le prince ne sentait plus d’attirance envers l’homme qui lui faisait face, il venait de comprendre, c’était l’odeur, cette odeur l’envoûtait, endormant ses pensées et excitant ses sens, c’était donc ça ! Mais c’était trop tard, l’homme venait de plaquer son torse contre le visage du prince, celui-ci, perdant peu à peu le fil de ce qu’il venait de découvrir, ce sentit encore plus excité, et entreprit de lécher ces magnifiques muscles abdominaux …
« - Avant d’aller plus loin mon prince, je m’appelle Lertène, rappelle toi bien de ce nom, puisque se sera la première personne avec qui tu fera l’amour ! Vous deux ! Il s’adressa aux deux sous-fifres, vous pouvez ramener ça, pour sa première fois, on va faire un peu plus soft, je le commence, mais vous aurez votre part. Ne vous inquiétez pas … »
Färvien léchait toujours le torse de Lertène, le plus beau qu’il n’est jamais vu de sa vie entière. Il y mettait toute la bonne volonté qu’il pouvait, aimant faire plaisir à l’homme qu’il aimait. Et celui-ci semblait apprécier, car l’exercice du prince commença à lui faire de l’effet. Le prince souffla sur le bombement s’agrandissant dans le pantalon de son homme, et cela l’excita encore plus, il baissa le pantalon de l’homme et souffla encore sur le caleçon de son héros, le bombement se fit plus intense et les fils du bout de tissu commençaient à craquer, Lertène était visiblement aux anges, et Färvien l’était tout autant de faire cette effet, à son amoureux. Il mordilla la tissu et la chair du pénis du Lertène, et le caleçon craqua, des lambeaux de tissus tombèrent au sol, dévoilant un pénis massif, Färvien, ne résistant pas une seconde de plus, l’avala complètement, essayant de satisfaire au mieux cet homme à qui il faisait confiance, il lécha, mouilla, utilisa toutes les techniques qu’il connaissait (et leur nombre c’était curieusement agrandit d’une manière phénoménale depuis que l’envoûtement était en marche) pour enfin faire éjaculer son bien aimé, Färvien n’en perdit pas une goutte, et avala le tout goulûment, comme si ça vie entière en dépendait, le goût était étrange, Färvien éprouvait du dégoût en même temps qui du plaisir, c’était quelque chose d’inhabituelle qui avait son charme. Lertène se baissa, et après un baiser passionné, dit au prince :
« - T’en veux plus ? »
Färvien regarda son amoureux, puis son pénis, et vit que celui-ci était toujours en érection. Il remonta vers ses yeux et dit :
« - Je te veux en moi, tu veux bien toi ? »
« - Bien sûr, après la pipe que tu viens de me tailler, je peux bien faire ça pour toi … »
Il lécha lui aussi le torse du prince, descendant peu à peu vers la base de son pénis, le prince n’avait pas encore éjaculé, mais son érection était plus forte que jamais. Lertène déchira le pantalon d’une main et titilla grâce à sa langue l’anus du prince. Celui-ci était dans un état d’extase complète, Lertène étant loi, Färvien ne devait plus ressentir l’effet puissant des hormones, pourtant, il se sentait monter au septième ciel, et influence ou pas, Lertène avait l’air d’être un pro pour se genre de chose, le prince pouvait à peine réfléchir tellement le plaisir était intense. Il sentit la langue de son homme et mit les mains sur la tête noire qu’il sentait s’affairer, l’encourageant du mieux qu’il pouvait. Les sensations s’intensifiaient petit à petit, Färvien ne se rendait même plus compte d’où il était et de ce qu’il faisait, seul dominaient les pensées de plaisir et de son homme avec lui, comme si plus rien ne pouvait le faire souffrir. Rien ne pouvait le faire souffrir ? Sentiment de courte durée, car il sentit l’intrus se retirer de son corps.
« - Do you trust me ? »
« - I trust you …»
Mais Färvien commençait à avoir peur, quel effet ça pouvait faire, son premier rapport sexuel allait être une sodomie, pas ce qu’on pouvait appeler une très bonne mise en bouche, ou mise en quoi que ce soit si ça vous fait plaisir (un peu de légèreté ne fait point de mal). Est-ce que ça fait mal ? Färvien ne voulait pas de ça, non, pas avec lui, surtout pas avec lui, et comment s’était-il retrouvé là ! C’était un cauchemar ! Non, ça ne pouvait pas se passer ainsi ! Lertène dût sentir que le prince commençait à revenir a lui. Il ne se fit pas prier, et d’un coup sec, il entra en Färvien. Celui-ci vit ses pensées s’atrophier d’un coup d’un seul. Autant la seconde d’avant il essayait de sortir de cette mauvaise passe que maintenant il ne pensait qu’à l’homme qui était en lui, si profondément en lui, la douleur était immense, mais l’amour surmontait celle-ci. Un amour puissant, désormais indestructible, mais ça, ni l’un ni l’autre des deux hommes ne pouvaient le ressentir. Färvien regarda Lertène, il vit peu à peu le regard de dominateur fondre en un regard passionné, toujours actif évidement, mais plus que de prendre son pied, l’homme avait l’air de vouloir satisfaire les deux libidos. Färvien était toujours en pleine extase, et il ne ressentait maintenant plus aucune douleur, c’était un plaisir intense, un plaisir auquel il n’avait jamais goûté et qui se révélait bon, très bon, trop bon. Les va et vient de son homme se faisaient tantôt puissant et rapide, tantôt lent mais tout aussi puissant, bien que plus respectueux envers l’homme qu’il sodomisait. Il avait prit les jambes de Färvien qui était sur le dos depuis le début de l’entretien. Il remonta Färvien contre lui et l’embrassa, après s’être relevé, il mit le prince contre le mur et continuait son travail tout en embrassant le prince. Celui-ci était au septième ciel, il caressait toutes les parties de Lertène qui lui tombait sous la main, se sentait bien, et même le côté inconfortable de sa position n’enlevait rien à son bonheur. Les minutes se déroulèrent en heures, les râles et les gémissements s’enchaînaient, entrecoupés de « je t’aime » des deux parties, le baiser était aussi intense que ce qui se passait plus bas, et les deux hommes faisaient du mieux qu’ils pouvaient pour être désiré de l’autre au maximum, ce qui marchait d’ailleurs plutôt bien. Les deux hommes qui était partis plus tôt rentrèrent, Färvien leur glissa un léger regard et vit qu’il se tenaient la main, sans doute sortaient-ils ensemble, cela l’importait peu, il reporta tout son attention sur son amour et lui caressa les joues tout en l’embrassant, celles-ci étaient mal rasées, ce qui rajoutait du charme à son côté bestial, et ses cheveux lui tombait devant les yeux. Décidément, Färvien le trouvait merveilleux en tous points. Celui-ci les renvoya entre deux râles, prétextant que Färvien était tout à lui, rien qu’à lui, ce qui bien sûr excita encore plus le prince de se voir tant aimé par un homme aussi beau. Les deux hommes parurent déçus, mais quittèrent la pièce sans mot dire. Enfin, après encore quelques unes de ces minutes qui paraissaient si longue, Färvien n’en pouvait plus, le plaisir était si intense qu’il n’arrivait presque plus à bouger, et il sentait que c’était la même chose de l’autre côté de son anus (charmant, isn’t it ?) le baiser et le plaisir arrivèrent à leur apogée, il éjaculèrent en même temps, l’un sur le torse de son partenaire, l’autre à l’intérieur de son partenaire. Färvien sentit la semence qui était déjà rentrée de l‘autre côté se répandre doucement en lui, ce qui lui donnait encore plus de plaisir. Le liquide était chaud et doux, c’était un concentrer de plaisir qui s’entendait désormais en lui. Il ne pensait plus à rien, il ne s’était jamais sentit aussi bien de sa vie, en sécurité dans les bras de son amant, qui semblait également apprécier ce moment privilégié. Il sentit faiblir les genoux de Lertène, qui s’allongea sur le sol, Färvien au dessus de lui, mais son pénis toujours en Färvien, les deux hommes s’endormirent paisiblement. Färvien se sentait au chaud, au creux des bras musclés de l’homme le plus merveilleux du monde, son esprit embrumé ne pensait qu’à Lertène nu. C’était le plus beau spectacle du monde, et Färvien le contemplait du mieux qu’il pouvait, gravant dans sa mémoire toutes les parties de son corps qu’il avait chérit pendant un si bon moment. Quand il se réveilla, Färvien eu froid. Le soleil traversait encore les volets et lui faisait mal aux yeux. Son esprit était toujours sous l’emprise de Lertène. Il regarda autour de lui, il n’y avait plus personne dans la pièce, Färvien sentit un grand vide l’envahir. Il se regarda, il était toujours nu et des traces blanches couvraient son torse. Son colon était encore douloureux et humide, mais le vide de son cœur était le plus immense qu’il n’ait jamais connu. Il se leva et commença à marcher, ce qui s’averra difficile vu la douleur qu’il sentait de plus en plus forte, mais c’était le seul souvenir de cette journée, de cet homme. La maison ne se composait que de deux pièces finalement, et il n’y avait rien à dire de plus que dans l’autre pièce, sinon qu’une table trônait en plein milieu avec quelques chaises autour. Il retourna dans la pièce dans laquelle il était encore voilà quelques heures avec l’homme qu’il chérissait. Il vit sur la paillasse le pantalon de Lertène, il s’approcha et vit un mot sur celui-ci. Il vit :
Bonjour mon aimé. Je suis désolé de ne pas pouvoir te dire au revoir, j’espère que tu me pardonneras. Pour ça et pour tout le reste d’ailleurs. J’ai des obligations qui m’empêchent de rester avec toi, mais je voudrais pouvoir te revoir le plus rapidement possible et j’espère que le destin pourra nous rassembler encore. Je prie pour ça. Je t’ai également coupé une mèche de cheveux, je la garderai toujours sur moi. Et j’espère que le pantalon pourra t’aider. Je t’aime de tout mon cœur. Lertène.
Färvien sentit les larmes lui monter aux yeux, il releva la tête pour les essuyer, et vit sur le mur un énorme cœur dessiné dans la pierre. Il rit et fondit en sanglots, la tristesse le rattrapant peu à peu, il plaqua le petit mot contre son cœur. Se reprenant du mieux qu’il pouvait, mais pleurant toujours autant, comme si les larmes ne pouvait s’empêcher de couler. Il enfila le pantalon, qui lui allait parfaitement, à par quelques menus détails au niveau de la taille le pantalon semblait être fait pour lui. Färvien essuya du mieux qu’il peut d’essuyer les marques de son torse et sortit de la maison. La tristesse qui s’était installée en lui ne semblait pas partir et les larmes coulaient toujours autant le long de ses joues, il ne pouvait pas s’empêcher de ressentir une douleur intense rien qu’en repensant en l’homme qui avait bercé son rêve. La suite ici =>[ ] | |
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