Ghost memories : les limbes dépassés.

Sujet: Re: Ghost memories : les limbes dépassés. Lun 23 Mar 2009 - 13:17

Poupée n°15 : Le fragment d'âme.

L'enfant s'apellait Kuru, c'était une demi-elfe ou demi-chatte, cela dépend comme on voit des choses dans le prisme des souvenirs du roi fantôme.
Le roi Oléaron serrait contre lui un... caillou des plus ressemblant, tandis que le frère Edaen méditait les paroles de sa tante.
Dans l'anonyma de ces voiles fanfreluches, l'élémentaire de l'eau ridée par un sort méditait l'ambiance électrique qui parcourait la pièce.
Il s'agissait de se la jouer fine tacticienne si elle désirait récupérer l'objet de sa convoitise : le cristal des Elzopéens.
Le divin monarque possédait dans son trésor royal, une pierre semi-précieuse que sa famille possédait voilà presque 1000 ans, vestige d'une civilisation disparue, que l'on nommait, l'oeil du démon : c'était une relique puissante qui dans le passé de la monarchie avait eut disait t'on de curieuses influences sur ces possesseurs les plus faibles d'esprits, ainsi un jeune roi avait tué sa soeur il y a longtemps de cela, sous l'influence de ces 15 printemps et de l'oeil.
Les possédés des souvenirs du roi eurent un sentiment d'intense nostalgie donc lorsque la vieille s'époumona.

« Contre cet enfant vous avez signé de votre sang, un objet de mon choix me revient à présent : je réclame l'oeil maudit des descendants du coeur, qui garde le nom de mal quand il réveille vos peurs, : l'oeil du démon ! Majestée dans votre collection.... »

Stupeurs et tremblements : la connaissance de cet artefact était aussi forte dans la population que celle du néant, cepandant ne pouvant pas perdre la face devant sa cour, il fit apporter ledit présent.
Dans un écrin du plus bel argent, l'objet cristalique n'avait rien de plantureux, Gabrielle s'en saisit donc au mieux dans sa main cacochyme.

*Enfin, il est a moi, l'oeil de Bélial !*

Aussitôt le temps se figeat, tandis que le fantôme quittait les coeurs et les âmes, Cascendre tenait dans sa main un morceau de verre qu'elle avait déterré là, et recitait dans sa propre bouche les formules magique du passé révolu.

« Par les pouvoirs de l'eau, j'invoque le serviteur du démon : viens à moi Léviathan ! »

Les rétines royales et angéliques se durcirent, Gabrielle venait de sommer pour la première fois le dragon d'eau qui dans le futur l'inspira, une partie du château fut détruit ce jour là, et les deux acolytes en virent progressivement les ruines autours d'eux.

...

Lorsqu'il se réveillèrent à la réalité, dans les ruines glacés ils se dévisagèrent circonspect : en effet le chaman angélique ne s'était jamais présenté à eux auparavent, autrement que dans le rêve évanescent.
Etendu contre le sol vert, Sébastien ne bougeait plus, les jambes écrartées dans de sugestives positions : était t'il mort de l'accouchement ?
Cascendre quand à elle restait interdite, du nouveau, de la scène, mais surtout du gros cristal entaillé qu'elle avait dans sa main, seul vestige réel du passé que le souvenir d'elle avait dut lacher, lorsque son invocation avait fonctionné.

« Qui, êtes vous ! »

Elle ne parlait pas aux garçons, cela il ne le comprirent pas instament, mais au morceau du miroir des Elzopéens, l'oeil vide maintenant du démon Bélial, le dernier fragment qui passe de main en main et changant de forme à son désir, avait sut se faire retrouver dans les débris des ruines muettes.
C'est alors qu'elle lacha le miroir aux reflets irisés venait de s'éclairer de mille feux bleutés, et dans son reflet les trois visages se reflétaient : Oléaron, Edaen et Cascendre (Sébastien était encore inconscient et trop loin de son sombre pouvoir).
Soudain il y eut comme une mutation dans l'éclat, et trois sombre silouhettes s'en projettèrent au dehors.

« Mon dieu, mais par quelle magie ! »
« Ne sont-ce point... des ombres ? »
« Mi-ombre, mi-reflet... »

Diagnostiqua le chaman à la question : en fait les reflets mutèrent encore pour devenir leurs opposés !
Devant se tenait donc : Un jeune garçon blond aux cheveux court et au regard clair comme une lune pleine, avec dans sa main une petite cuillière tordue ; un adolescent mat aux allures primitives, qui portait sur son front des signes cabalistiques spécifiques aux druides ; et une... Demi-chienne aux babines retroussés, avec des dents blanches qu'elle voudrait les planter !

« Ce sont des adversaires ? »
« Ce sont là nos contraires ! »
« A chacun son rival ! »

Conclut avec placidité la jeune spiritualiste.
Le combat pouvait commencer...

Sujet: Re: Ghost memories : les limbes dépassés. Lun 30 Mar 2009 - 19:57

"Un payement de plus ? Lui fallait-elle une offrande à ses prédictions d’oiseau de malheur ? Si je ne me retenais pas elle croupirait déjà dans les geôles je …
Mais jugeons-nous la paye d’un messager sur le contenu d’un message ? Non plutôt sur le trajet qu’il avait parcouru jusque-là… cette vielle sage donne de sa bonne volonté pour venir ici, elle peut bien être remercié, son message n’était-il pas une sorte de conseil ? "

Enfin, même si le Roi se doutait qu’elle demandait là un artefact puissant,il-
il n’allait pas faire tout une affaire pour une pierre, et en face de ces gens : rappeler les sombres histoires qui hantait le château n’était pas pour l’aider dans ce moment difficile.
L’histoire de ce malheureux garçon….

Ce devait être une triste journée d’automne, le jeune roi devait encore rêver de l’extérieur sans pouvoir justifier un moment de détente…
Ses conseillers, maladroits, tentait de contenir son ennui dans la masse des ces obligations, n’occultant rien sinon le peu de volonté lui restant à lutter contre cette fougue…
Cette ardeur dévorante, cette chaleur qui le dévorait plus encore que lors de ces jeunes années, lorsqu’il parlait avec envie de la fonction qu’il attendait, de l’impatience qui l’habitait…

Le roi était se sentit mal de tant de flux de pensée opposée, sentiments paradoxales torturant son pauvre esprit d’apprenti souverain, n’ayant pas la sagesse nécessaire à partager le poids de sa charge.

Voyant leur maitre vaciller l’on décida de le laisser se reposer à d’un œil inquiet, son conseiller ferma la porte de la chambre royale, laissant seul le jeunot en proie à sa démon…

Pour la suite, les gens racontent qu’il trouva l’objet sous son oreiller, cherchant une réponse à ses interrogations dans les reflets rougeâtres de l’artefact, il dut poser ses questions à la source de son mal, on l’abreuva d’idée instable, et tel une huile qui s’enflamme quand le soleil se couche, on le provoqua quand sa famille fut endormie.

Il rôda jusqu’au quartier de la princesse, s’approcha de sa couche et frappa…
La pauvre n’eut juste le temps d’apercevoir … non pas son frère… mais un monstre ayant revêtit son apparence, pour crier et attirer les gardes.

Quand au roi… tout ses pensée, tout son cœur, tout ses membres vibrait aux noms de la haine : Il devait les tuer tous, il rependrait leur sang et se nourrirait de leurs cris !
On ne se moquera plus de lui ! Il sera libre ! Personne ne le retiendrait plus !

Cet animal mourra pour avoir osé l’avoir retenu ! Il lui ferrait ravaler ses aboiement !
Elle paiera de sa vie pour cette insulte !

Qu’importe l’arme, ces mains, ses crocs suffirait à lui faire comprendre sa fureur !

-« CREVE ! »

Je…enfin je veux dire nous…eûmes que le temps de cligner des yeux que déjà, je sentait l'ombre qui m'avait habiter quitter mon corps me rendant mon identité dans son intégralité, ne me laissant que je goût amer de ce rêve d'un temps passé, fruit de la magie d'une enfant et des souvenir d'un souverain déchu. Terrassé par le malheur et le devoir découlant de son statut. Quelle ironie…

Je clignait des yeux, effaçant de mon esprit l'horreur des derniers instant qui avait secoué les ruine qui nous entourait. A la place du minable tas du pierre, je ne pouvait m'empêcher de me représenter le magnifique palais qu'il avait été jadis… Mais l'heure n'était plus au souvenir et encore moins au sentimentalisme. J'avais en face de moi un druide qui ne semblait pas très enclin a un débat entre amis autour d'un bon feu de camps. Mais ce n'était pas pour me déplaire. Pourtant je n'avait pas vraiment envie de me battre…Mais maintenant que j'étais face a mon adversaire avais-je vraiment le chois?

Je jetait un regard vers les gosses. Celui qui ressemblait a un chat venait de se jeter au coup de la louve sans autre forme de procès. Je crois que j'en fut impressionner il n'avait pas froid aux yeux a moins qu'il soit tout simplement stupide…A voir.

Le druide se mit en garde, visiblement peu décidé a donner l'assaut, je fit de même, levant son poignet gauche devant mon visage, insistant ma chaîne a s'éveiller. Ce qu'elle fit en coulant le long de mon bras pour que se tête touche presque le sol. Nous nous jaugeâmes un instant puis que le sentit se tendre, je fit de même, a moins que se soit l'inverse. Je comptait jusqu'à trois avant de lancez l'assaut, il ne m'en laissa pas le loisir, il était déjà contre moi poignard en main cherchant le point faible de ma défense.
Je reculait d'un bond, tirant la chaîne a moi, pour m'en servir comme d'un poignard. Les deux lames s'entrechoquèrent, le combat était lancer.

Je guettait les mouvement de ses lèvres cherchant a prévoir toute magie druidique, ne sachant pas trop a quoi m'attendre. Me retenant de ne palançon moi aussi un sort sachant qu'il devait tout comme moi, rester a l'affût de tout assaut magique. Nous évoluons au rythme des rencontre entres nos arme respective. Tentant de nous désarmer l'un l'autre, de blessé l'adversaire, de déterminer qui de nous deux avait l'avantage. En vainc. Je reculait précipitamment évitant de justesse la lame acérée de mon ombre. En vérité je ne savait même pas si il était capable de magie ou si son arme était empoisonner. Mais lui…peut être qu'il savait déjà tout de moi! Cette pensée me fit frémir, je reculais, trébuchais et me rattrapait de justesse en passant derrière un mur de pierre. Je venait de le perdre de vue… c'était le moment propice pour lancer un sort, nous le savions tout deux . Mes lèvre s'animèrent soudainement.

Par le lien qui nous lie.
Qu'il soit ami ou ennemis.
Ne fait preuve d'aucune pitié
Tant que le danger ne sera pas écarter

Esprit du vent
Esprit du temps
Souvenez-vous du pacte qui nous lie
Éveiller-moi a votre magie.

Je sentit un souffle d'air agité ma crinière. Je relevait les babines, en un rictus de victoire. La chaîne, a mon poignet, se mit a s'agiter plus qu'a l'accoutumée, se recouvrant de symbole magique, mon appel avait été entendu. Mon reflet réapparut de derrière le mur, son sourire m'indiqua que lui aussi n'avait pas chômer. Et l'ombre noir qui s'ab soudainement sur moi vint me le confirmer.

Poupée n°16 : Télékinésie.

Les duels fessaient part de tout côté, entre des chats terrifiants aux druides insoupçonnés.
En comparaison, son duel à elle paraissait bien calme, mais déjà leur tension était au paroxysme, car le duel n’avait pas lieu sur le plan physique, mais psychique.
Le jeune garçon aux cheveux platine, souleva sa cuillère argentée tordues en quelques spires improbables, et l’ustensile alla se fracasser contre l’herbe, esquivé à sa vitesse folle par un mouvement in extrémis de la jeune fille.
Il ne se dérida pas pour autant, alors que reprenant sa concentration dans ces mains virginale, commençait à s’agiter les fils rouges de sa poupée.
L’enfant désarmé ouvrit dans un revers de sa manche digne d’un magicien d’autres armes argentiques, aux formes plus effilés.
Les couteaux s’agitèrent dans ces doigts fins et sa bouche mutique les força à léviter.

-« Pas mal, tu dois être le fils d’un cuisinier… »

Se moqua t’elle, bleffant l’armée des couteaux tirés.
Les yeux sans expressions de l’artiste télékinésiste s’assombrirent de noir, alors que les nuages aux dessus de leurs têtes, chanteraient bientôt un crachin de pluie fine.
Il ne se donna même pas la peine de répondre lorsque l’armée fondit sur Cascendre à la même vitesse, il lui était impossible de tous les éviter...
C’est à ce moment là que Sébastien se figeât devant elle, quelques couteau traversant son flanc pourpré, il lui avait servit ainsi de bouclier, alors que femme enceinte il avait accouché de la princesse Kuru, revenus enfin à lui, le Draal du moment fesait moins bonne figure, lorsqu’il s’écroula à ces pieds.

-« Crétin ! »

Mais aussitôt le bruit sifflant des outils plantés contre la terre s’armèrent pour s’en déloger, et attaquer de nouveau.
Les yeux plissés et mauvais elle déclara au muet.

- « Toi, tu n’auras même pas le plaisir de souffrir lorsque je t’aurais tué ! »

Chose improbable, elle entendit en écho dans sa tête.

- « C’est vous, la petite gamine, qui allez y passer… »

Le combat était véritablement à couteau tirés.

Les crocs s'enfoncèrent dans ma chaire, énorme animal m'ayant surprit par derrière, ne me laissa pas le loisir d'esquiver, il me jeta au sol et je mordais violemment la poussière. Mon poignet gauche de crispa sur la chaîne lui intiment l'ordre de me débarrasser du fardeau qui me maintenais au sol. L'arme s'exécuta et vint enlacer le coup de mon assaillant. L'animal ne broncha pas visiblement aveugler pas sont but, qui pour l'instant, était de l'arracher l'épaule. Il y eu un "crac" sonore et peu engagent, et je senti le corps du fauve de détendre soudainement. Mauvais calcul. Le monstre s'écroula sur place avec moi dessous me coupant le souffle au passage.

Il allait me le payer ce fils de…

Avec maintes jurons je m'extrayais de sous la carcasse ennemie. Mais je fus interrompu par deux pieds en plein milieux de mon champs de vision. Cet saleté de druide se tenait devant moi un sourire d'une douceur peu rassurante sur les lèvres. Tout d'un coup je réalisais que dans mon esprit, un druide n'avait rien de guerrier, c'était tout au plus, un vieillard sénile et barbu qui prêchait la paix dans le monde et la beauté présumée de la nature. Vive les stéréotypes! Avec un peu de malchance le cristal m'avais dégoter le seul druide revanchard a des milles a la rondes!

"Tu a perdu, tu vas mourir…"

Le pire c'est cette énergumène avait presque l'air désoler! S'il était tant navré que ça on avaient qu'a échanger nos place, j'aurais bien moins de scrupule que lui! Il brandi son poignard comme une arme sacrificiel accomplissant par la un rite millénaire dont je ne voulais pas connaître le sens! Je levais mon visage vers le sien guettant le moment… Qui ne tarda d'ailleurs pas. L'espace d'un instant son regard fut voiler par ses long cils sombre, il ne m'en fallais pas plus. Prennent appuy sur le sol je me jetais littéralement tête baisser sur se qui devait être le creux de son œsophage avec la ferme intention de lui couper le souffle le temps de l'achever. Je calculais mal mon coup, et ne touchait pas exactement l'endroit prévue, un peu trop bas. Mais comme il se pliait en deux avec un crie de douleur je suppose que je pouvais m'estimer malgré tout chanceux. Je me redressais vivement, laissant la chaîne faire son office. Et bientôt ce fut un saucisson de druide qui me fit face, la tête en bas se balançant doucement au bout de la chaîne qui l'avait suspendu a une branches. Je me permis un sourire vainqueur. Après tout, il était maintenant a ma merci!

"Tu pense vraiment que tu vas me vaincre ainsi? "

Oui pourquoi? Ou était le problème? Je posait sur lui un regard interrogateur mêlé de méfiance. Je me demandait ce qu'il allait encore me préparer.

"Réfléchi! Je suis ton ombre mais aussi ton reflet…ton sang est le mien sans pour autant être le même…"

Qu'il pouvait être bavard lui alors! Et en plus il parlait en énigme! Quelle poisse! Qu'il se taise! Ou parle a jamais!A moins que ce soit l'inverse…Enfin bref! Qu'il épargne mes oreilles sensibles et qu'il ne me prenne pas la tête ou je le réduisais en charpie a coup de griffe et de croc! Mon regard du me trahir car je le vit pâlir soudain.

" Je connaît tes origines! Tu connaît les miennes!"

A bon? Ravi de l'apprendre! Il esquissa un sourire qui ne me plus pas car il ressemblait a s'y méprendre au mien quelques instant auparavant.

"Je suis ton inverse!"

Sans que je comprenne trop pourquoi, ma chaîne se desserra soudainement et il retomba au sol aussi souplement que je l'aurai fait moi-même. Moi qui pensais m'en tirer a si bon compte…c'était décidément rater. Autant se préparé au pire…Je portais distraitement ma main a ma blessure, l'immonde cerbère de mon ennemis ne m'avais pas louper même si seul ses crocs était parvenu a percé mon "armure" et encore seul la partie de cuir. La plaque en bronze quand a elle était rester intacte. La magie allait donc certainement pouvoir se mêlé au combat! Et cela, malgré la douleur persistante dans mon épaule droite! Je n'allait faire qu'une bouchée de ce druide des bas fond!

Enfin…c'est-ce que je pensait jusqu'à ce que sa tunique ne se déchire pour laisser place a une paire d'aile miniature.

"Je suis ton inverse!"

J'avais comprit! Il commençait a devenir vraiment lourd!

"J'ai du sang angélique coule dans les veines!"

Il ne manquait plus que ça! Je levais les yeux aux ciel, priant les esprits de m'aider un tant soit peu…un éclaire m'aurai suffi pour achever le plumeux…mais il n'y avait pas l'ombre d'un nuage en vue! Pauvre de moi.
Je grognais entre mes dents et me remettais en garde.

Le combat aurait du se passer tout à fait "normalement", à savoir le massacre d'un pauvre animal contre une rangée de dents acérées, après tout que pouvais un chaton contre une chienne? Surtout si celui s'écriait une variante du "PSSSSSCCHHHH" (soufflement).
Il aurait été content de perdre à ce jeu, parque le grand type rouge et bien il trichait!

A peine arrivé tout près de la fille qu'il se recula! Il respectait même pas les règles de touche-touche : On pouvait pas dire "Chat!" à distance!
Vous auriez vu les oreilles de la pauvre chienne, elle se fâchait et courrait dans tout les sens, pendant que lui il rigolait en gigotant dans tout les sens pour pas se faire toucher.
Elle au moins elle jouait correct. (remarquez qu'essayer de toucher avec la tête n'était pas la méthode la plus facile non plus)

-"NIAHAHAHA"

Ouah, je n'ai jamais entendu des rires comme ça, il fait bien les grands méchant des contes... Mais ça voudrait dire qu'ils avaient des jeux? Ah oui, la chienne poussait des grognement plutôt bien fait aussi!
Je devrais m'entrainer moi si je voudrais arriver à faire ça un jour

Ah, il essaye de se faire rire la on dirait, ils se tiennent par les côtes, le barbu retient la tête de la fille, qui n'arrête pas de claquer des dents... Elles devraient arrêter sinon elle va encore perdre... trop tard elle a déjà reçu la tapette.

En tout cas les autres rigolais bien aussi, Mademoiselle Cascendre qui joue à rattraper des objets, enfin heureusement que Sebastien était là, sinon je pense pas qu’elle y arriverait, elle doit être encore un peu trop petite.
Quand à le garçon timide, il fait connaissance avec le chien du monsieur, il à l’air très sympathique, quoi qu’un peu paresseux. Il a un truc bizarre au poignet, ptêtre ce que l’on appelle « montre », un truc au bout d’une chaine qui bouge, c’est amusant comme objet !

Poupée n°17 : Pic et pic et choléra.

La bataille faisait rage de tout côté : griffée, crocs tirés, phrases d’escrimes et autres dance.
Sébastien pathétique gisait là, hélas, la petite sorcière fit ces pupilles rougir du plus carmin des airs.

- « Tu va me le payer, ton sang sur l’asphalte ne serait pas le dernier… »

Le jeune blondinet ne daigna même pas lui répondre, ces pensées à nouveau fermées, il faisait léviter les dagues mortelles pour qui savait s’y planter, et les dirigeants à nouveau vers elle, d’un gracieux mouvement du bras, ils volèrent vers son éclat.

*J’en appelle à toi, Déesse des enfers qui contrôle l’air, permet que ta servante s’octroie une partie de ta puissance !*

Elle ferma les yeux et récitât.

- « Lic lac, lic lac… »

Soudain le temps semblât se figer autour d’elle, un léger parfum autour d’hell.

*Qu’Ecathe annule ton pouvoir, en échange d’un fragment de mon innocence !*

Elle ouvrit des yeux sans vies, et les couteaux s’étaient figées amis, à quelques distances de son charmant petit minois, elle agitât t’elle une marionnette les fils de sa poupée qui prenant son temps se saisit de deux couteau suspendus.

- « Comment fais tu petite sorcière, mon pouvoir ne peut être contré par les filles de la terre ! »

Pour la première fois l’enfant blond avant parlé, dans un rictus forcé où il essayait de contrer l’annulation de son pouvoir.
Ecathe est un démon caché d’un pandémonium, peut de fidèle en sont perclus, mais Cascendre bien qu’en apparence dévouée à Ilo, faisait ces messes noires, pour communiquer avec cette déesse qui gouverne sur le contrôle et l'air.

- « Pic et pic et choléra… »

La poupée avançait en l’air jetée comme une folle, sautillant de couteau en couteau suspendu, pour finir par planter ces deux armes dans les yeux crispés de leurs maitres.

- « Trop gros était tes yeux, maintenant ils sont à moi ! »

Le jeune télékinésiste dénué de protection, perdit la vue, ainsi que l’esprit, tandis que le reste de son armada s’écroula avec lui sur le sol, en divers bruits métalliques.
L’esprit de la déesse avait quitté Cascendre, une petite fille mignonne comme toutes les autres, qui s’évanouie aussitôt.

Pour beaucoup, la simple énonciation du mot "ange" suffit a faire naître un sourire, c'est vrais qu'il sont beau avec leur ailles immaculées, se pavanant comme des roi dans leur tenue toujours impeccable. Pour moi, enfant du Clan, c'était moins évident. Descendent de démon ou de race analogue, aucun d'entre nous n'appréciaient les plumeux, au mieux nous les ignorions. Personnellement cela ne m'avait jamais fait ni chaut ni froid. Je me contentait de les évitée, car ils était réputer capable de voire au-delà des apparence, hors je tien encore a mon image de gamin fluet.

Mon adversaire bâtit des ailles, je craignis un instant de le voir décoller, mais comme j'aurai dut m'en douter, il n'avait pas la prestance d'un vrais ange: il ne pouvait même pas s'arracher du sol de quelque pouces! Je retins un éclat de rire, en plein milieu d'un combat c'était malvenue et très impoli.

Mais je commençait a me fatigué. Il était temps d'en finir, surtout que la gamine avait finie. La chaîne s'enroula autour de mon avant bras. Je traçait un cercle dans l'aire et laissait le portail s'ouvrir. Je reposait mon regard azuré sur mon adversaire. Qu'il vienne je l'attendait.

L'ange ne se fit pas prier, il chargea, tête baisser, dans la plus primaire des positions. Je fut étonner de constatée que ses ailles miniature lui donnait l'avantage de la vitesse mais a ce stade ce n'était plus un problème. Je comptait le nombre de ses foulée puis me laissait glisser par le portail ouvert. En temps normale plongée ainsi dans le monde des esprit est formellement interdit. Mais après tout… je n'appartenait plus vraiment au Clan…alors leur règle il pouvait bien se les mettre la ou je pense!
Je me senti tombée dans le néant, j'avais saisi avant de faire le grand saut le bout de ma chaîne, et quand la lumière m'entoura a de nouveau j'abattis mon arme presque a la aveuglette. Il y eu un cris, celui de mon adversaire, il s'écroula au sol, sous mon poids. Je ne lui laissait pas le temps de réagir, la chaîne glissa sous sa gorge je tirait un grand coup. Le semi-ange se débattit un instant, mais quand sa nuque se brisa, il ne bougea plus. Je soupirait de soulagement, il ne me caserai plus les oreilles.

Par prudence je lui tranchait la jugulaire a l'aide d'un poignard. Puis me relevait pour récupéré toute mes petites affaires. Il ne manquait plus que le chat et son homologue canidé. Mais il était assez grand pour se débrouiller tout seul, ou trop petit et dans se cas la il allait mourir comme un grand. Enfin…de tout façon, je ne m'en mêlerai pas sans raison valable.